Le Tripaix/Matete sous Charly Kasunda : Un bijou qui reflète l’Etat de Droit

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Depuis son avènement à la magistrature suprême, Félix Tshisekedi a fait de l’Etat de Droit l’un des programmes phare de son quinquennat et la gratuité de l’enseignement de base. En ce qui concerne l’Etat de Droit, le Président de la République a pu compter sur l’efficacité de certains magistrats qui ont dû cravacher pour rendre effective cette vision en dépit des plusieurs impondérables.
Charly Kasunda fait partie de ceux sur qui le pays a pu compter pour rendre effectif l’Etat de Droit. Nommé président du Tribunal de Paix de Kinshasa/Matete depuis septembre 2020 en provenance du Tribunal de Paix de Kinkole où il n’a officié que pendant six mois comme président, Charly Kasunda a donné à cette juridiction une autre image.

Situé au cœur de la commune de Matete non loin du marché tomba, le Tribunal de Paix de Kinshasa/Matete a été réputé pour son insalubrité.

Mais trois ans après l’avènement de Charly Kasunda le qualificatif a totalement changé.

Le contraste entre ces images d’avant son avènement et pendant son règne est une parfaite illustration de ce qu’il fait de cette juridiction.
Le premier chantier, la réhabilitation du bâtiment. Hors mis le coup de peinture, il a totalement réhabilité la salle des juges qui dégage dorénavant un conforme inouïe, deux salles d’audiences avec des sièges pimpant neufs, une valve et son bureau mis dans des conditions dignes de celui d’un président de juridiction.


L’objectif poursuivi par le Président du Tribunal de Paix de Kinhasa/Matete est de mettre ses collaborateurs dans des très bonnes conditions de travail et accompagner l’Etat de Droit prôné par le Chef de l’Etat en ce qui concerne les attributions qui lui sont confiées.

Surnommé par ses collègues la hauteur grâce à son sérieux dans le travail et sa rigueur Charly Kasunda a aussi restauré le système des plénières chaque lundi au Tribunal de Paix de Kinshasa/Matete. Comme le veut la loi, les audiences commencent à 9h, et une sanction est infligée à tout retardateur.
Avec 13 juges, 5 chambres au pénal et 14 chambres au civil, aucune chambre n’est privilégiée, chacune peut se voir confiée n’importe quel dossier comme escroquerie, abus de confiance, vol ou encore faux et usage de faux quel que soit la portée de l’affaire. Une impartialité qui fait que tous les juges se sentent très impliqués dans la bonne marche de cette juridiction.
Dans tous les secteurs de la vie nationale, il suffit juste d’un brin de bonne volonté et de patriotisme comme celui Charly Kasunda pour aider le pays à se développer.
Joël Diawa