Acquisition d’un lot important d’engins de salubrité: Ngobila plus que déterminé à en finir avec l’insalubrité à Kinshasa
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En finir définitivement avec l’insalubrité dans la Ville-province de Kinshasa, c’est la détermination sans faille de Gentiny Ngobila Mbaka qui ne ménage aucun effort jour et nuit pour rendre la capitale de la République Démocratique du Congo beaucoup plus viable. C’est ce qui justifie son séjour à Luanda où il est allé inspecter le débarquement d’un lot important d’engins d’assainissement, fruit du partenariat conclu depuis octobre 2023 entre la Ville de Kinshasa et la société turque Albayrak.
Fort de son expertise dans le domaine de l’assainissement, « ce partenariat est la réponse tant attendue pour résorber la problématique de l’insalubrité sans cesse croissante dans la Ville de Kinshasa. Bras séculier de la vision ‘’Kin Bopeto’’, le déploiement de ces engins sonnera le début d’une nouvelle ère pour cette métropole que nous chérissons tous », a déclaré le gouverneur Ngobila.
Pour les pessimistes, et ceux qui ont cru en une fiction de la vision de l’assainissement de cette ville, le numéro de Kinshasa a voulu répondre de manière pragmatique par des actions palpables :
« …l’assainissement de cette ville est pratique et palpable. Aux grands maux, les grands moyens dit-on ; nous espérons que l’acquisition de ces engins et la signature de ce contrat, mettre définitivement fin à la question de l’insalubrité dans la capitale de la RDC dont nous avons la lourde tâche de gouverner à ce jour », a renchéri Gentiny Ngobila pour qui, cette solution mise en place se trouve être « le palliatif efficace et efficient à l’insuffisance ou la quasi-inexistence d’un budget à la hauteur des besoins exigibles pour combattre ce fléau qu’est l’insalubrité ».
Le groupe turc Albayrak est actif en Afrique dans les ports, aéroports et des nombreux autres secteurs. La société avait passé commande d’une centaine de camions bennes auprès de Kademe, l’une des sociétés du groupe, qui fabrique les véhicules à usage industriel au bénéfice de la capitale kinoise dans le cadre de ce contrat qui court sur une durée initiale de cinq ans à un rythme de quelque dix millions de dollars par an.
Avec désormais l’exécution de ce contrat, Kinshasa peut enfin espérer en finir avec le problème tant décrié de la salubrité qui est parfois à la base du ralentissement de la montée des eaux en cas des pluies.
Joël Diawa